Nationalité Française, Naissance 1941, Famille nombreuse (6 enfants), milieu social Ouvrier SNCF* ; et un arrière-grand-père Isidore CROZAT *Carrier au lieu-dit “les DUCS” à Mialanes de la Margeride en Gévaudan / Lozère (F)
Isidore et Agnès CROZAT
Scolarité :
École primaire Bellevue, à Paray-le-Monial 71 : bon élève *(CM1 le maître d’école convoque mes parents pour leur conseiller au vu de facultés de vision perspective, de dessin, qui mériteraient des études supérieures et de solliciter l’octroi d’une Bourse !)
Cours Complémentaires 6e à 3e Certificat d’étude, Brevet des Écoles
Lycée Lamartine (interne) à Mâcon 71000, 2nd et 1ère, baccalauréat Science -ex
Préparation militaire parachutisme, sursitaire 3 mois /Incorporation Classe 61 École d’Officier de Réserve /CIDB à Trèves (D) /43e RBIMa à Offenburg (D)*
Activités civiles
SNCF : Stage d’école de conduite de locomotives à vapeur à Nevers, de 6 mois (démissionnaire)
La Pacific 231
Commis d’Architecte JANCYR à Nevers (15 mois*)
Études supérieures
École Polytechnique Fédérale de Lausanne EPFL ENAC (CH) 1ère, 2e, 3e années
Stage professionnel (1968-69)
– à l’ETAU à ALGER (DZ) (6 mois) /Projet (84 logement à BATNA (DZ)
– à DOLE du Jura, (F) (6 mois) : Concepteur de l’INSTITUT Médico-éducatif (Classé au Patrimoine du XXe siècle en Franche-Comté)
4e année : Urbanisme
Diplôme (6 mois) : “Aménagement du Territoire : Incidence du Projet Canal Rhin-Rhône à Grand Gabarit en Bourgogne-Franche Comté” (Prix du meilleur travail par la Société des Ingénieurs et Architectes Suisses - SIA (CH)
Exercice professionnel
1971-1974 : DDE /GEP du Jura (contractuel) / Urbaniste Conseil DDE du Jura, Plan d’Occupation des Sols (POS) de SALINS les Bains (1er de France)
Étude d’une nouvelle traversée du Doubs à Dole (transit du Pont Louis XV saturé) : proposition d’une 2e traversée, “Pont de la Corniche”.
1975-2007 : AGENCE d’Architecte - Urbaniste - Aménagement du territoire, en exercice libéral.
1984 : Initiateur, membre fondateur et Secrétaire Général de l'Association de Co-Développement Rhône-Alpes (A.CO.DE.R.A.), initiative de coopération internationale décentralisée dans le domaine de l'Habitat, du Bâtiment et des Travaux Publics.
1986 : prise de contact avec Hoang Phuc Sinh (Vietnamien /Chinois) de même Promotion EPFL.
1987-1990 – Sàrl d'Architecture “HOANG & CROZAT et Associés”
Étude du Plan Directeur de l’île ER SHA TAU à GUANGZHOU/CANTON, RPC (en collaboration avec la Société d’Équipement de la Région Lyonnaise-SERL)
(126 HA - 550.000 m²) (Médaille d’Or de Guangzhou)
Participation Urbanistique aux Études de faisabilité du Métro de GUANGZHOU, RPC, en collaboration avec SEMALY et SOFRETU)
Étude du Plan Directeur du quartier GUOBEI à SHANGHAI, Chine (156 HA - 2.200.000 m²)
Aéroport international de Sanya à HAINAN, Chine (Bureau d’études Aéroport de Paris, réalisation Spie-Batignolles)
Étude du Plan directeur la ville.
1990 – Massacre de TIEN-AN-MEN /rupture des relations diplomatique Franco-Chinoises.
1990 – Croisière touristique familiale en ÉGYPTE
1991 – Concours de l’École d'ingénieurs ENSMM à Besançon (perdu, T.A. , indemnisé)
1992 – Logements étudiants (84) à Besançon
1992 – Logements étudiants (48) à Blois
1993 – Logements étudiants - réhabilitation ENI -Belfort
1993-1994 – COOPÉRATION INTERNATIONALE
ALGÉRIE
Consultant Ministère des Affaires Étrangères pour l'Habitat
Élaboration d'une stratégie de co-développement de l'Habitat
Coopération franco-algérienne /Association de Co-développement Rhône-Alpes (ACODERA)
CAMEROUN
Consultant ONUDI : Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel
Étude de faisabilité - Programme Habitat en terre stabilisée à Douala
CHINE
Création de France Chine Développement (FCD) Sàrl de Conseils et de Services Industriels et Commerciaux
- usines de traitement d'eau potable
- stations d'épuration d'eaux usées
- structures métalliques d'immeubles de grande hauteur
- commercialisation de produits alimentaires français (vins, produits laitiers)
Mission au VIETNAM pour le compte de Plan International (Organisation Non Gouvernementale) mission d'évaluation et de proposition des possibilités (3 000 maisons), sur la base des ressources, matériaux et techniques locales pour définir un habitat évolutif, réalisable en auto-construction.
1996 ‑ EXPERT Consultant International
pour le Centre de Développement Industriel (CDI) de la Communauté Européenne : Mission en MAURITANIE auprès de la Société Nationale Industrielle et Minière (SNIM) de recherche d'opportunité d'investissements industriels de développement de production de matériaux de construction et composants ciment.
B. THÈSE DE DOCTORAT : “SYSTÈME CONSTRUCTIF DES PYRAMIDES”
1990-1993 : Suite au voyage touristique en Égypte (du Caire à Abou Simbel), lectures et analyse des divers sur écrits sur les Pyramides, en particulier DIODORE de Sicile et HÉRODOTE (L’Enquête Livres I à IV § Livre II (124) « Chéops bâtit la grande pyramide »
1993 – EPFL-ENAC : inscription en Thèse à l’EPFL (F. AUBRY directeur de thèse, décédé en 96). Les délais impartis étant dépassés, la thèse est “avortée”.
1996 – RECHERCHE - RÉDACTION - PUBLICATION concernant le mode de construction des grandes pyramides d'Égypte (IVe dynastie) par le procédé “d'accroissement pyramidal”, conforme aux écrits d'HÉRODOTE intitulé : « SYSTEME CONSTRUCTIF DES PYRAMIDES », Éditions CANEVAS - France (Février1997) ISBN n°2-88382-065-1
1997 – Prise de contact avec Dr. Fathy SALEH, Conseiller culturel de l’Ambassade d’Égypte à Paris, pour lui présenter mes premières recherches et lui offrir mon livre. Il m’invitera à donner une Conférence au Centre Culturel d’Égypte de Paris et acceptera mon invitation à venir à Dole visiter les fonds de la Bibliothèque Municipale « Description de l’Egypte » (Editions PANKOUCK) et participer à la conférence que j’ai donnée dans la Salle du Conseil Municipal. Il participera avec son épouse au repas organisé à leur venue à mon domicile.
1998 — École Nationale Supérieure des Mines de Nancy (ENSMN), le Directeur du Laboratoire Environnement Géomécanique et Ouvrages (Laego), Thierry VERDEL m’invite à donner une conférence de présentation de cette publication ; avant la fin il me propose de reprendre ma Thèse avec lui comme Directeur de Thèse.
L’Autorisation de parcourir le Plateau de GIZEH « pour faire de la géologie » fut sollicitée auprès du Dr. Z. HAWASS.
Une présentation du sujet de thèse a été donnée à l’Institut Français d’Archéologie Orientale (IFAO).
1999-2002 — THÈSE DE DOCTORAT en Génie Civil, Hydrosystèmes et Géotechnique /INPL/ENSMN. Intitulé de thèse : « le génie des pyramides », avec les félicitations unanimes du jury Professeurs P.-J. PIGUET Directeur et Th. VERDEL Directeur exécutif /ENSMN, Président du jury H. HELAL Professeur de mécanique des roches à l'Univiersité du Caire.
Publication de l’ouvrage intitulé « LE GÉNIE DES PYRAMIDES » Éditions DERVY – France (Juin 2002) ISBN n° 2-84454-161-5
2003-2007 – ÉTUDES POSTDOCTORALES complémentaires de vérifications géologiques
En 1990, lors du voyage touristique : ma prise de conscience - à la vue de la stratification sur le visage du Sphinx dans le contexte général du Plateau de Gizeh – qu’il s’agit là d’une “laisse de carrière” (la tête et le corps ont été détourés) ce qui nous indique les différentes couches géologiques du Plateau à cet endroit.
La vérification sera attestée par deux experts : Dj. AÏSSAOUI, géologue et J.-Paul FOUCHÉ Directeur de l'Institut Supérieur de Recherche et de Formation des Métier de la Pierre (ISRFMP) de Rodez, de l’Association Ouvrière des Compagnons du Devoir du Tour de France (AOCDTF/PARIS).
L’étude de la stratigraphie du Plateau sera établie et modélisée sur la base du relevé photogramétrique aérien de l'Institut Géologique National par Mme J. SAUSSE (Géo-ingénierie) et vérifié sur place par les deux experts.
La reconnaissance et modélisation des “réseaux de fracturation naturelle des roches” du pli anticlinal du Plateau de Gizeh (selon la méthode mise au point par M. RUHLAND (1969-1972) indique :
L’orientation NE/SW du réseau “primaire” des diaclases principales (ouvertes) : longitudinales ΔL en N 135° et des diaclases transversales ΔT en N 45° (déca-hectométrique).
Le double réseau “secondaire” des diaclases diagonales (fermées) dû au cisaillement permettant la déformation : Δ droite et Δ gauche (métrique) se retrouvent donc exactement Nord/Sud.
Ceci impose ainsi l’orientation des faces de la pyramide et de l’exploitation des strates sans le recours à l’étoile Alpha du Dragon !
De fait, hier comme aujourd’hui, nul ne saurait faire fi de la fracturation naturelle dans l’exploitation de carrière (calcaire nummulitique).
La stratigraphie du Plateau de Gizeh a été dressée qui comporte différentes couches empruntées par chacune des trois pyramides (voir le tableau récapitulatif).
La preuve scientifique définitive attestant la véracité de notre analyse des réseaux de fracturation naturelle des roches sera apportée par R. PERRIER ingénieur-géologue et moi-même, avec la découverte de “tectoglyphes” (des stries) sur la partie interne (en place) de la première assise, au pied de la pyramide de Khéphren, sur la face Nord (photo B2), proche de l’angle NW.
Ces différentes preuves scientifiques étant vérifiées, la question à élucider demeurait celle de la provenance des matériaux constitutifs de chacune des trois Grandes Pyramides de Khéops, Khephren et Mykérinos selon leur emplacements spécifiques.
Les reliquats d’emprunts autour de Mykérinos (photo), et de Khéphren (front de taille) impliquent un emprunt en carrière périphérique au plus près de l’ouvrage en construction. (2 photos)
Ces preuves indubitables (toutes encore visibles) doivent être intégrées dans la recherche ; elles ont été publiées comme hypothèse dans « Système constructif des pyramides » (op. cité), Schéma de principe, suite à ma “thèse avortée” à l’EPFL 1993 après le décès en 1996 de F. AUBRY, mon Directeur de thèse.
Ce premier livre comporte un dépliant final qui atteste de la formulation cette hypothèse de “l’accroissement pyramidal” (alors appelé ”accrétion-exhaussement”) superposée sur le relevé de MARAGIOGLIO et RINALDI (échelle 1/200) fourni par la Bibliothèque de Dole (Mme D. DUCOUT)
On y remarquera la ligne joignant le pied de la pyramide à la Chambre de la Reine d'une part ainsi que d'autre part les rampes du couloir ascendant et Grande Galerie et celles de la mise en place des 50 monolithes en granite, dont un de 63 tonnes, superposés à la Chambre du Roi, ainsi que celle de mise en place du Chevron en calcaire qui les coiffe.
C. ÉVOLUTION DES FORMES PYRAMIDALES
Les pyramides d’Égypte sont-elles les plus anciennes ? La question est encore sans réponse ! Quoi qu’il en soit, toutes les pyramides participent du Continuum Technique des “Ouvrages Tumulaires vernaculaires” du monde entier, faits de pierre ou de terre et réalisés par l’Homme : tumulus, dolmen, bazinas djedar, collines artificielles, pyramides amérindiennes, chinoises, etc., dont le mode générique est explicité par les ouvrages mineurs du vernaculaire : épierrements, baraquas, murgers, murailles néolithiques du génie rural, civil et militaire.
En Égypte, la forme des différentes pyramides en pierre : pyramides à degrés, grandes pyramides lisses, pyramides d’Abousir, sauf les pyramides à texte, est générée par le système constructif utilisé, lui-même induit par les caractéristiques dimensionnelles des matériaux fournis par le site d’implantation. Le choix du site est alors fonction de la présence de matériaux utilisables par rapport à l’outillage à disposition à l’endroit et/ou à l’époque donnée.
Par ordre de l’évolution technique :
Construction vernaculaire des Ouvrages Tumulaires de l’Antiquité (3 200 BC)
Tumulus MAES HOWE dans les Îles Orkney (Ècosse) : les matériaux sont empruntés au pourtour de l’ouvrage, principe fondateur !
Cairn de Barnenez dans la baie de Morlaix érigé il y a près de 6000 ans.
Domaine de Bougon : J. Pierre MOHEN (rapporteur de ma thèse) + article
Tumulus de la Joselière à Pornic remarquable du fait de sa construction par cônes-enveloppes (préfiguration du système constructif de la Grande Pyramide de Khéops).
Les pyramides à degrés d’Égypte :
La pyramide à degrés de DJESER à Saqqarah, faite du gisement pierreux de son esplanade périphérique (dont on trouve un reliquat proche au Nord) est réalisée par degrés constitués de parées successives, épaississement permettant l’installation d’un échafaudage de bois (photo C1) ; ainsi la pyramide se construit par stades d’accroissement volumique à partir du centre (animation) et non pas en empilant des « mastaba du plus grand au plus petit » comme le prétend J. Ph. LAUER, égyptologue.
Son Architecte IMHOTEP a été divinisé pour son génie créateur.
Les trois pyramides de SNEFROU (IVe dynastie) :
La première pyramide de SNEFROU à Meïdoum est aussi construite par degrés comme le révèle son état actuel et l’analyse de sa structure interne qui aurait comportée trois états successifs (d’après BORCHARDT, égyptologue)
La deuxième pyramide de SNEFROU à Dahchour Sud (photo C2) est appelée pour sa forme “rhomboïdales”, à deux tronçons de pentes différentes (54° en bas et 43°en haut). De base carrée, elle est composée d’enveloppes successives, qui – à la rupture de pente – se restreignent régulièrement. La plateforme périphérique carrée, carrière d’emprunt des matériaux constitutifs comportant le changement de pente consécutif au non-emprunts successifs (dû à la géologie ou par précaution ?).
Les photographies aériennes des sommets de la pyramide rhomboïdale et pyramide rouge, publiées par NGS, confirment les proportions des blocs et leur appareillage “en boutisse” (PHOTO G3 /NGS).
La troisième pyramide “rouge” de SNEFROU à Dahchour Nord, du fait de la couleur de la pierre, présente une pente de 43° ; elle est considérée comme la première tentative réussie de pyramide à faces lisses qui préfigure les pyramides de Gizeh. (PHOTO C4 /NGS)
Ainsi, SNEFROU, Pharaon de la IIIe dynastie, le père de KHÉOPS, à Dahchour aura fait évoluer le système constructif des pyramides “à degrés” jusqu’aux “Grandes Pyramides lisses”.
Les trois grandes pyramides lisses du Plateau de GIZEH (IVe dynastie)
La pyramide de Khéops est la plus grande du monde (231m de base et 147m de hauteur), et la plus “énigmatique” du fait de ses dispositifs intérieurs (couloirs descendant, horizontal, ascendant, chambre de la Reine, Grande Galerie, chambre du Roi, chapeautée de 30 monolithes de granite (30 à 63 T) et d’un chevron en calcaire.
De nombreuses théories ont été proposées par différents auteurs de l’archéologie classique mais aussi “sauvage”, et la liste n’est pas aboutie ; mais aucun n’est praticien de la construction même s’il est égyptologue-archéologue et n’a considéré ni la géologie, ni la méthode constructive.
Le premier historien à s’intéresser à la Grande Pyramide est HÉRODOTE d’Halicarnasse qui décrit un « système de gradins successifs qu’on appelle tantôt Bomidès : table, plateforme d’appui (entablement), tantôt Krossas : corbeau (encorbellement) » qui génère « un créneau formant escalier » et que l'on utilisait des « machines faites courtes pièces de bois, que l’on déplace ou que l’on multiplie » selon le témoignage des Prêtres du Temple de Ptha à Memphis. Ce texte mal traduit est demeuré incompréhensible par les égyptologues-archéologues (de formation littéraire) et finalement refusé !
Le second historien est DIODORE de Sicile qui prétend : « On dit que les trois pyramides sont posées sur le sable qui les entoure et qu’on n’avait pas encore inventé de machine en ce temps-là, dit-on ».
D. 2010-2025 – RETRAITE PROFESSIONNELLE - CHERCHEUR INDÉPENDANT
Recherches graphiques de modélisation théorique du “système d'accroissement pyramidal” (homothétique de la pyramide de Khéops sur sa carrière (PYR/CAR).
Dès 2004, je prenais attache avec l’EPFL (visite et correspondance avec le Professeur MONDADA) dans le but de trouver un partenaire institutionnel afin de développer la modélisation-composition de la carrière (CAR) et de trouver « la suite logistique de son exploitation d’emprunt des blocs » correspondant à l’empilages en pyramide, et la stratégie d’anticipation (sur la face Nord) de réalisation des dispositifs intérieurs (couloirs, chambres, Grandes Galerie, etc.)
En 2024, j’ai repris ce contact toujours aussi positif qui m’oriente vers un autre laboratoire : EPFL ENAC (qui est celui dont je suis diplômé en 1971) qui, bien sûr, possède désormais un département de modélisation des “Systèmes Intelligents” et de robotique, compte tenu qu’il s’agit – à mon avis – suivant les modélisations graphiques successives d’un « Système Algorithmique » (itératif et prédictif), à savoir dans l'ordre chronologique de publication :
1993 – Croquis de principe publiés dans « Système constructif des pyramides » (pp. 140 à 144) (ma thèse “avortée” EPFL 1993-96)
1997 – Article (en anglais) de la revue AL AHRAM INTERNATIONAL (30 avril) par Dr. Said EL LAWANDY, titré : « L’explication d’Hérodote sur le sujet de la construction des pyramides est la seule valable scientifiquement. Pierre CROZAT Architecte français (photo d’identité) ne s’attendait pas à ce que son destin le propulse sur le chemin de l’égyptologie, pour devenir un des spécialistes en vue de nos jours… ». Je ne connais pas l’auteur de cet article ; peut-être a-t-il été renseigné par S.E. FAROUK HOSNY, Ministre de la Culture ?
1998 – Intelligence Artificielle (?) / Université Paris VI / ex-Laboratoire des Milieux Désordonnés et Hétérogènes (LMDH) - M. BOURDIN /DEA (sur mes directives) au Centre de Calcul. (Afficher)
2000 – Article de NATIONAL GEOGRAPHIC / GEOGRAPHICA (avril 2000) d’Anne HEBERT intitulé « Nouvelle hypothèse sur la construction des pyramides égyptiennes » avec une photographie des 3 grandes pyramides du Plateau de Gizeh et l’autre du départ de la construction d’une maquette expérimentale d’une pyramide en briques du “système de gradins successifs” décrit par HÉRODOTE, avec quelques amis, etc. (Afficher)
2002 – ENSMN-Laego – Modélisation pyramide sur sa carrière – Logiciel informatique / Th. VERDEL O. DECK, S. HENSGEN et G. BONFANTE /LORIA, montrant la progression d’une pyramide au milieu de sa carrière de surface double (chaque phase de la carrière correspond à une enveloppe). (Afficher)
2004 – La Grande Galerie de la pyramide de Chéops. Sa construction et son rôle dans le contexte de la “méthode d’accroissement pyramidal” proposé par P. CROZAT. (Hilal ZARZOUR étudiant / Beirut Arab University).(Afficher)
2005-2006 – Espace des Sciences de Paris (ESP) – EABJM / Programme G. CHARPACK « les sciences dans le secondaire » : construction d’une pyramide avec des mini-palettes de bois par les élèves classe de 6e.
2007 – Palais de la Découverte - Paris : Commissaire de l’exposition / débat ; réalisateur du film documentaire d’animation “PYRAMIDES”. (Afficher)
2008 – Projet : “PARIS DUO DE SES PYRAMIDES” de réalisation d’une pyramide de palettes en bois (éphémère, gratuite), sur l’axe du Louvre à la Défense (Porte Maillot), construite par sa population (éducative du système constructif) vis-à-vis de la pyramide de l'architecte Ieoh Ming PEI (immatérielle et muette).(Afficher)
2010 – Bibliothèque D’Alexandrie / Workshop au Planétarium Science Center / Hoda ELMIKATI Directeur, Th. VERDEL, R. SASSY et A. VERNE : construction d’une pyramide sur le parvis par les élèves du Collège Saint-Marc d’Alexandrie. (Afficher)
2017 – Paléo-topo-stratigraphie du Plateau de Gizeh, restituée par J. SAUSSE (Mines Nancy, Lab. Géoressources) sur les relevés de Th. BURLETT, élève Mines Nancy. Logiciel GOCAD (Paradigme) ENSG Georessources, équipe Géomécanique Ouvrages Risques, mission de relevés exécutée en août 2015 par P. CROZAT (financement CNRS). (Afficher)
2017 – Conférence-Débat au CULTNAT / Smart Village – Le Caire, donnée le 26/09 à l’invitation du Professeur Fathi SALEH, par P. CROZAT assisté de Th. VERDEL devant un auditoire scientifique d’une centaine de personnes invitées. Intitulée “Construction des grandes pyramides : l'hypothèse géologique”, la conférence (filmée) portait sur la présentation de la démarche de recherche de la thèse “Le génie des pyramides”, études postdoctorales et résultats probants de la simulation 3D de la paléo-topo-stratigraphie du Plateau de Gizeh.
2018 – Proposition d’une seconde conférence au Planetarium Science Center de la Bibliothèque d’Alexandrie, sous le titre “Khéops – Grand et Petit Vides : Où – Pourquoi – Comment les construire ?” sur mon interprétation de pure statique des Grand et Petit Vides trouvés par les Muongraphes Japonais. Cette proposition a été acceptée mais finalement refusée...(Afficher)
2020 – Essai de mise au point de la machine d’HÉRODOTE en carrière avec la participation de membres de l’Association Ouvrière des Compagnons du Devoir du Tour de France (AOCDTF/ J-P. FOUCHER. (Photo)