Première partie :
ÉTUDES PRÉLIMINAIRES 1990-1997
Deuxième partie :
ÉTUDES DOCTORALES 1998-2002
Troisième partie :
ÉTUDES POSTDOCTORALES 2003-2017
Quatrième partie :
ÉTUDES DE FINALISATION 2018-2019
Cinquième partie :
PUBLICATIONS & MODÉLISATION INFOGRAPHIQUE ANIMÉE 2019 - en cours
PROJETS ÉVÉNEMENTIELS
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Pierre CROZAT Architecte - Urbaniste
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Source : | TECHNIUM Social Sciences Journal | |
Référence : | Vol. 43 (2023): A new decade for social changes | |
Titre de la publication : | Transport chains in the time of the Egyptian Pharaohs: a still unknown organizational efficiency | |
Auteur : | Gilles PACHÉ - CERGAM, Aix-Marseille University, France |
Télécharger la publication ( 12 pages, 1,9 Mo) - Voir 2. The case of the Great Pyramid of Giza
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Source : | Design In Nature | |
Référence : | Doubleday éditeur (2012) | |
Titre de la publication : | Design In Nature - How the constructal law governs evolution in biology, physics, technology and social organization | |
Auteurs : | Professor Adrian BEJAN Ph. D and J. Peder ZANE |
Télécharger la publication ( 175 pages, 7,6 Mo)
Extrait de la page 98 : | |
(...) “Now we will see how, by looking at an array of engineered designs in history. We begin with one of the oldest and most famous structures, the Pyramids in Egypt, and other ancient sites that still intrigue us with their size and geometric form. Even by today’s standards, their size is immense and their form is perfect. These designs are so impressive that our culture tends to attribute them to an ancient scienti c base of knowledge that was lost, and to presumed links between ancient peoples living on opposite sides of the globe. The constructal law solves the mystery of the Pyramids in a surprisingly direct way: They are the result of a universal natural phenomenon that governs the movement of all materials on Earth. This view does not take anything away from the achievements of the ancient builders. Rather, like the evolution of the wheel described in chapter 4, it is a physics argument that what our ancestors chose to do is natural, that to engineer is natural, to tend to migrate on the globe is natural, and that the geometry of all material ows (animate and inanimate) can be reasoned based on a single principle. In the making of a Pyramid, the constructal law calls for the expenditure of less work by striking a balance between the time to move slow and short and the time to move fast and long. This principle accounts for the location and shape of the edi ce. First, the location is in the middle of the quarry, because less work means a shorter sliding distance between the place where stones are mined and the construction site. (As technology has evolved, work sites have moved farther from the sources of material because it takes less effort to transport them.) This same phenomenon also accounts for the shape of the Pyramid. The French architect Pierre Crozat demonstrated that builders used the Pyramid slope to move the stones upward using wood levers and ropes. Each stone was lifted, moved horizontally, and then dropped at the next higher level. In a pile of stones held together by gravity (dry-stone construction), shape means the base angle. A good angle is one in which the work spent on moving the stone horizontally is roughly the same as the work spent on moving it on the incline. If the flow of stones is configured such that the edifice is constructed with less and less expenditure of useful energy, then the shape of the pyramid (the angle at the base) isunique, size independent, and dictated by the technology of the era. The prediction is thatthe pyramid construction must proceed layer by layer such that the pyramid isgeometrically similar to itself during its growth (in layers, like an onion). Put another way, there are two “media” through which the streams of stones ow—two mechanisms—one with low resistivity (moving the stone horizontally, which is relatively easy) and the other with high resistivity (moving on the incline, which is much harder). When the two media are highly dissimilar, the angle at the base (that is, the angle of refraction of the ray of moving stones) approaches 90 degrees. Rivers, stones, and animals ow with con gurations that come from the same principle. We should also note that the law of refraction governs the movement of goods in economics, where it is known as the law of parsimony.” (...) |
(...) “Nous allons voir comment, en examinant toute une série d'ouvrages d'art dans l'histoire. Nous commençons par l'une des structures les plus anciennes et les plus célèbres, les pyramides d'Égypte, et d'autres sites anciens qui nous intriguent encore par leur taille et leur forme géométrique. Même selon les normes actuelles, leur taille est immense et leur forme est parfaite. Ces dessins sont si impressionnants que notre culture tend à les attribuer à une ancienne base de connaissances scientifiques perdue et à des liens présumés entre d'anciens peuples vivant aux antipodes les uns des autres. La loi de construction résout le mystère des pyramides d'une manière étonnamment directe : elles sont le résultat d'un phénomène naturel universel qui régit le mouvement de tous les matériaux sur Terre. Ce point de vue n'enlève rien aux réalisations des anciens bâtisseurs. Au contraire, comme l'évolution de la roue décrite au chapitre 4, il s'agit d'un argument physique selon lequel ce que nos ancêtres ont choisi de faire est naturel, que l'ingénierie est naturelle, que la tendance à migrer sur le globe est naturelle et que la géométrie de tous les flux de matériaux (animés et inanimés) peut être raisonnée sur la base d'un principe unique. Dans la construction d'une pyramide, la loi de construction exige de dépenser moins de travail en trouvant un équilibre entre le temps de se déplacer lentement et brièvement et le temps de se déplacer rapidement et longuement. Ce principe explique l'emplacement et la forme de l'édifice. Tout d'abord, l'emplacement est situé au milieu de la carrière, car moins de travail signifie une distance de glissement plus courte entre l'endroit où les pierres sont extraites et le site de construction. (Avec l'évolution de la technologie, les chantiers se sont éloignés des sources de matériaux parce qu'il faut moins d'effort pour les transporter). Ce phénomène explique également la forme de la pyramide. L'architecte français Pierre CROZAT a démontré que les bâtisseurs utilisaient la pente de la pyramide pour déplacer les pierres vers le haut à l'aide de leviers en bois et de cordes. Chaque pierre était soulevée, déplacée horizontalement, puis déposée au niveau supérieur. Dans une pile de pierres maintenues ensemble par la gravité (construction en pierres sèches), la forme signifie l'angle de base. Un bon angle est celui dans lequel le travail nécessaire pour déplacer la pierre horizontalement correspond à peu près au travail nécessaire pour la déplacer sur l'inclinaison. Si le flux de pierres est configuré de manière à ce que l'édifice soit construit en dépensant de moins en moins d'énergie utile, alors la forme de la pyramide (l'angle à la base) est unique, indépendante de la taille et dictée par la technologie de l'époque. La prédiction est que la construction de la pyramide doit se faire couche par couche de manière à ce que la pyramide soit géométriquement semblable à elle-même au cours de sa croissance (en couches, comme un oignon). En d'autres termes, il y a deux "médias" à travers lesquels le flux de pierres s'écoule - deux mécanismes - l'un à faible résistivité (déplacement de la pierre horizontalement, ce qui est relativement facile) et l'autre à forte résistivité (déplacement sur l'inclinaison, ce qui est beaucoup plus difficile). Lorsque les deux milieux sont très différents, l'angle à la base (c'est-à-dire l'angle de réfraction du rayon des pierres en mouvement) approche les 90 degrés. Les rivières, les pierres et les animaux s'écoulent avec des configurations qui relèvent du même principe. Notons également que la loi de la réfraction régit le mouvement des marchandises en économie, où elle est connue sous le nom de loi de parcimonie.” (...) |
Traduit avec www.DeepL.com/Translator
Source : | MEMNONIA | |
Référence : | Cahier supplémentaire N° 1, Le Caire 2003 | |
Titre de la publication : | PUBLICATION EGYPTOLOGIQUE | |
Auteur : | Jean-Pierre MOHEN, directeur du Patrimoine et des Collections du Musée du Quai Branly à Paris |
« La recherche des carrières autour des pyramides et en particulier celle de Chéops, à la suite d’une étude géologique du sol et des blocs en calcaire nummulitique lutétien local utilisés pour la construction de la pyramide même à 98 %, a permis à Pierre Crozat (2002) de montrer dans sa thèse que la pyramide de Chéops, de même que les autres pyramides égyptiennes, se construisaient à partir du centre de la base par accroissement volumique, et doivent être incluses dans le “continuum technique” des ouvrages tumulaires préhistoriques. La compréhension du mode de construction n’est pas du domaine de la “géométrie” extérieure, obtenue, pensait-on, à l’aide de rampes, mais de celui de la “logistique ou algorisme” interne, cumulatif de la pratique ouvrière qui génère la forme. Cela n’empêche pas que le résultat du volume régulier obtenu réponde également à des régularités de la géométrie pythagoricienne, vantées dès l’Antiquité. »
Courriel de J.P. MOHEN à P. CROZAT :
Monsieur,
Vous savez l’intérêt que je porte à vos travaux sur les méthodes utilisées par les architectes de
l’Égypte ancienne quand ils construisaient leurs pyramides ; votre bonne connaissance de la géologie et celle des sciences de l’ingénieur vous prédisposaient à comprendre mieux que quiconque comment les anciens égyptiens s’y prenaient avec une intelligence et une économie de moyen, en commençant par le cœur du monument, en progressant par degrés et en utilisant le système du levier ; votre thèse soutenue à l’École des Mines de Nancy où j’étais invité à participer à votre jury en raison des travaux que j’avais réalisés sur la manipulation d’un mégalithe de 32 tonnes, l’a brillamment prouvé.
Vos observations et vos expériences qui ont suivi depuis ce premier travail qui a fait l’objet d’une publication, vous persuadaient de plus en plus que cette vision du problème était aussi
pertinente qu’originale.
Une bonne connaissance des monuments anciens eux-mêmes et une phase expérimentale dans les conditions similaires les plus proches des originaux, dans un lieu à choisir avec les autorités
compétentes apporteraient une conviction scientifique souhaitée. Je vous souhaite cette réussite.
Avec mes sentiments les meilleurs.
Jean-Pierre MOHEN
Source : | AL AHRAM International | |
Référence : | Édition du 30 avril 1997 | |
Titre de l'article : | Les pharaons ont construit les pyramides au moyen de machines en bois | |
Auteur : | Dr Saïd El Lawandy |
(Transcription)
Un architecte Français spécialisé en égyptologie :
Les pharaons ont construit les pyramides au moyen de machines en bois.
L’explication d'Hérodote sur le sujet de la construction des pyramides est la seule valable scientifiquement
Écrit par Dr Saïd El Lawandy
L'architecte français ne s'attendait pas à ce que son destin le propulse sur le chemin de l'égyptologie, pour devenir un des spécialistes en vue de nos jours.
Son intérêt pour l'architecture l'a poussé tout d'abord à essayer de comprendre les opérations de construction des pyramides, ainsi a-t-il commencé par lire tout ce qu'il trouvait comme ouvrages ou références, pour devenir, après quelques années, au courant de tout ce qui se dit ou se publie sur ce sujet, jusqu'à se faire un avis sur tous.Petit à petit, s'est enracinée en lui la passion de l'Égypte ancienne, surtout après que ses études généralisées et approfondies lui ont permis de découvrir que les pharaons étaient en avance dans beaucoup de domaines scientifiques, dont l'astronomie, les mathématiques et la géologie.
Par la suite, Pierre Crozat s'est trouvé un point de vue différent par rapport aux théoriciens de la construction des pyramides, ce qui l'a amené à écrire un livre pour développer sa propre théorie en y incluant toutes les argumentations scientifiques sur lesquelles il se base. Le livre intitulé « Système constructif des pyramides » est une sorte de recherche sur la construction des pyramides de la période de la troisième et quatrième famille. Notamment celle de la pyramide de Khéops, parce que, d'après Crozat, bien qu'elle soit considérée comme la plus complète et ia plus mystérieuse, il a pu dévoiler une grande partie du secret de sa construction.
La première partie du tivre comporte un inventaire et une classification des différentes théories de construction précédentes, ainsi que leurs réfutations, sans critiquer les explications religieuses, spirituelles ou métaphysiques, en concentrant les idées de recherche uniquement sur lés méthodes de construction architecturales, dont les plus importantes celle des rampes et celle de la machine. Pierre Crozat explique que ces deux théories s'opposent et s'interfèrent depuis des temps anciens et qu'on retrouve à travers les fouilles d'Hérodote (des machines en bois dont le nombre diminue ou augmente), et des écrits de Diodore le Sicilien (une rampe détruite après construction).
Crozat note que la seule théorie acceptée aujourd'hui par la majorité des chercheurs est celle de la rampe de l'archéologue français Philippe Lauer, et son livre le contredit radicalement.
La deuxième partie du livre est une recherche qui s'intéresse au sujet de la pierre et les principes de base dans la construction comme l'économie des efforts, la préparation et l'acheminement de la matière brute soit du calcaire ou du granite. La recherche attire l'attention sur la différence entre les pierres calcaires, dont est constituée la pyramide, qui pèsent 2,5 tonnes, et les pierres en granite constituées d'un seul bloc, au nombre de 90, dont chacune pèse entre 25 et 30 tonnes, avec lesquelles est construite la chambre du roi.
Sur la constatation de cette différence, le livre expose sa propre théorie relative aux différentes étapes des travaux de construction.
La technique est de poser toutes les pierres calcaires constituant la pyramide elle-même, seon le principe de l'augmentation et de l'élargissement, par couches, à l'aide de leviers en bois, aboutissant ainsi à la construction d'une petite pyramide comme base de la construction, et se poursuit après le rajout de pierres périphériques autour et par-dessus à la manière des pinces géométriques (exemple l'oignon). Cette méthode ressemble à celle de la théorie de Lepsius pour les pyramides en degrés, et est valable pour les pyramides à couches horizontales de pierres de grandes tailles par groupes et par couches.
Et Crozat rajoute en disant que cette méthode est exécutable à petite échelle, et qu'il est facile de la reproduire en miniature en tenant compte des dimensions requises préalablement à la construction de la pyramide en entier. Cette méthode inclut également la construction de rampes provisoires de manière progressive (exemples la grande galerie et le couloir ascendant) Ces rampes vont s'intégrer au sein de la construction après son achèvement. Le livre explique l'utilité de ces rampes dans la facilitation des opérations de poussées des pierres en granite pour la construction de la chambre du roi et des chambres spéciales de décompression. Sur cette base, on peut considérer la grande galerie comme une rampe ayant servi au glissement des contrepoids pour faire un ascenseur géant.
La preuve irréfutable de cette disposition, d'après Crozat, est que la rampe la plus haute débute à la partie basse extérieure de la face nord de la pyramide, et correspond avec la position de la dernière chambre de décompression en forme de triangle en haut de la chambre funéraire principale (une pierre de granite d'un seul bloc).
En continuant la procédure selon la méthode de la progression et de l'élargissement pour la pose des pierres calcaires dans la construction de la pyramide, cette première étape du projet disparaît à l'intérieur de la construction elle-même.
Et Crozat rajoute en disant qu'il reste à revêtir la pyramide par les pierres de calcaire blanches et polies des carrières selon la même méthode, ensuite sculpter avec un burin en descendant les faces de haut en bas pour obtenir une pyramide plus lisse. Cette méthode de construction est exécutable en modèle réduit pour l'étudier et vérifier sa faisabilité, elle correspond aux connaissances mathématiques connues à l'ancienne époque (calculs et additions des nombres entiers), les connaissances mathématiques qui ont permis à Pythagore après l'avoir emprunté de les développer en nombres triangulaires sacrés.
Par ailleurs, ce qui distingue cette théorie est sa concordance avec les écrits anciens d'Hérodote, conformes aux dires des prêtres égyptiens expliquant et clarfiant des conventions comme : bomides la pierre d'appui et crossaï la pierre suivante.
D'après Crozat, c'est grâce à cette théorie que s'éclaircit pour nous l'explication du paragraphe important de l'historien grec dédié aux méthodes de construction restées incompréhensibles malgré ses explications dans ses écrits. Or les traducteurs profanes dans le domaine de la construction, ont abouti aux malentendus, rendant ainsi les chercheurs dubitatifs sur leurs véracités. Aujourd'hui, grâce à cette théorie, nous sommes en mesure de comprendre ces écrits, et redonner au grand historien sa vrai place.
Quant à la troisième partie du livre, elle expose les recherches appliquées de cette théorie sur les pyramides de Khéops, Khephren et Mykérinos, en prenant en compte minutieusement les détails : des hauteurs, du nombre de pierres, des dimensions des pierres, des galeries, des couloirs, des chambres et de leurs mesures, en s'appuyant sur les références disponibles (comme celles de Lopère et Cotal, Jomar et Cécil, Mario Julio, Rinalo, Pietri et Krissel).
Malgré l'absence de quelques détails, les applications ne laissent aucun doute sur les preuves apportées et les convictions exprimées.
L'architecte français Pierre Crozat précise qu'à la fin de ses recherches scientifiques, il explique la théorie qui confirme l'existence d'un système double et complémentaire, faisant correspondre le volume de la pyramide construite grâce au système constructif par accrétion et exhaussement, partant de la base et en l'élargissant par couches successives, comme expliqué ci-avant, avec celui de la Zone exploitée de la carrière voisine du site sur la colline de Gizeh, où l'on constate des couches découpées suivant la même forme que les pierres pyramidales, et organisées en blocs parallélépipédiques.
Imaginez avec moi, précise Crozat, un enfant souhaitant construire avec ses mains un petit monticule de sable, ainsi se mettra-t-il à prendre du sable aux alentours pour remplir le centre, puis un peu plus loin et un peu plus profond pour en rajouter à son monticule et l'agrandir.
Conformément à cette théorie, avec la construction de la pyramide, la carrière disparaît au fur et à mesure de l'agrandissement de celle-ci, faisant apparaître à nos yeux la pyramide sur niveau surélevé par rapport à sa colline.
Ce qui prouve cette théorie, ce sont les traces archéologiques des carrières sous la pyramide de Khephren sont à découvert, alors que celles sous la pyramide de Mykérinos se trouvent sous le sable.
Par ailleurs, des programmes informatiques de simulation de modèles réduits sur ordinateur expliquent cette théorie, et des enregistrements vidéo de ces simulations permettent d'observer ce système constructif des pyramides, d'approuver cette théorie et de mieux la comprendre.
Crozat précise que le livre, les programmes informatiques de simulation et les enregistrements vidéo, ont été communiqués officiellement à de nombreux centres internationaux de recherches sur l'archéologie Égyptienne.
L'architecte Crozat conclut en disant que ses recherches scientifiques sur ce système constructif des pyramides, original et innovateur, aboutissent logiquement à douter de la théorie des rampes reconnues à ce jour. D'autre part, des explications et des clarifications multiples de cette théorie ont été effectuées dans des établissements en dehors du domaine de l'égyptologie.
Sans doute, cette théorie de la machine relative au système constructif des pyramides, confirme les véracités des écrits d'Hérodote et sa fameuse machine d'une part, et d'autre part révèle le niveau des connaissances scientifiques et mathématiques de l'époque.
Ge système permet de construire une pyramide d'une manière simple, bloc par bloc et couche par couche, y compris les galeries, tes chambres et les couloirs, alors que les nouvelles sciences et technologies sont incapables de le faire.
Ainsi, cette théorie s'impose-t-elle par sa grande simplicité, son intelligence, et son côté pratique, met an lumière à travers l'époque ancienne, toutes les connaissances et progrès scientifiques dans le domaine de l'architecture, confirme le génie des Égyptiens antiques, et relègue aux oubliettes les explications énigmatiques sur la construction des pyramides.
TRADUIT EN FRANÇAIS DE L'EXTRAIT EN ARABE AL AHRAM INTERNATIONAL — 30 AVRIL 1997 — CAPITALES DU MONDE ARTICLE DE LA PAGE 9